Below is the lyrics of the song Mort à crédit , artist - Paris Violence with translation
Original text with translation
Paris Violence
Fin de vacances à Paris
Encore un mois d’août sous la pluie
A tituber de bar en bar
Sur les traces de Freddy Lombard
Mais y a ni Sweep ni Dina
Que mon cafard qui est toujours là
Quand je fais le tour du pâté de maisons
Entre deux averses d’arrière-saison
Et le temps passe
En laissant dans nos cœurs comme un goût dégueulasse
Et les jours filent
Avec le rythme morne de nos remords fébriles
Et on se crève
On se surprend à bazarder tous nos vieux rêves
Et on s’aigrit
Au fur et à mesure que le temps s’obscurcit
Et le temps passe, la vie aussi
Et tout s’efface, et tout s’oublie
Et on s’angoisse, et on vieillit
Et on se lasse dans l’agonie
Vingt mètres carrés, troisième étage
Pile de vaisselle sur fond d’orage
BDs ouvertes, revues par terre
Vue sur le périph et sur le cimetière
Et Chaland y est passé aussi
En 1989
Sur l’autoroute, un jour de pluie
Et Freddy part pour le Paradis
Et le temps passe
En laissant dans nos cœurs comme un goût dégueulasse
Et les jours filent
Avec le rythme morne de nos remords fébriles
Et on se crève
On se surprend à bazarder tous nos vieux rêves
Et on s’aigrit
Au fur et à mesure que le temps s’obscurcit
Et le temps passe, la vie aussi
Et tout s’efface, et tout s’oublie
Et on s’angoisse, et on vieillit
Et on se lasse dans l’agonie
K. Dick et Drieu la Rochelle
Pour remettre de l’ordre dans mon bordel
Et toujours une bouteille de Smirnoff
Réponse à toutes les catastrophes
Goût de Craven et de Monte Cristo
Je balance mes vieux tickets de métro
Et je replonge sans demander mon reste
Dans Vacances à Budapest
Et le temps passe
En laissant dans nos cœurs comme un goût dégueulasse
Et les jours filent
Avec le rythme morne de nos remords fébriles
Et on se crève
On se surprend à bazarder tous nos vieux rêves
Et on s’aigrit
Au fur et à mesure que le temps s’obscurcit
Et le temps passe, la vie aussi
Et tout s’efface, et tout s’oublie
Et on s’angoisse, et on vieillit
Et on se lasse dans l’agonie
End of vacation in Paris
Another rainy August
Staggering from bar to bar
In the footsteps of Freddy Lombard
But there's neither Sweep nor Dina
Than my cockroach which is always there
When I go around the block
Between two late-season showers
And time passes
Leaving in our hearts like a disgusting taste
And the days go by
With the dull rhythm of our feverish remorse
And we die
We find ourselves throwing away all our old dreams
And we sour
As the weather darkens
And time passes, so does life
And everything fades, and everything is forgotten
And we get anxious, and we get old
And we weary in agony
Twenty square meters, third floor
Pile of dishes against a storm background
Open comics, magazines on the floor
View of the ring road and the cemetery
And Chaland went there too
In 1989
On the highway on a rainy day
And Freddy goes to Heaven
And time passes
Leaving in our hearts like a disgusting taste
And the days go by
With the dull rhythm of our feverish remorse
And we die
We find ourselves throwing away all our old dreams
And we sour
As the weather darkens
And time passes, so does life
And everything fades, and everything is forgotten
And we get anxious, and we get old
And we weary in agony
K. Dick and Drieu la Rochelle
To put my mess in order
And always a bottle of Smirnoff
Response to all disasters
Taste of Craven and Monte Cristo
I throw away my old metro tickets
And I dive back in without asking for my rest
In Holidays in Budapest
And time passes
Leaving in our hearts like a disgusting taste
And the days go by
With the dull rhythm of our feverish remorse
And we die
We find ourselves throwing away all our old dreams
And we sour
As the weather darkens
And time passes, so does life
And everything fades, and everything is forgotten
And we get anxious, and we get old
And we weary in agony
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