Au cimetière des amours - Saez
С переводом

Au cimetière des amours - Saez

Год
2017
Язык
`French`
Длительность
520370

Below is the lyrics of the song Au cimetière des amours , artist - Saez with translation

Lyrics " Au cimetière des amours "

Original text with translation

Au cimetière des amours

Saez

Оригинальный текст

Au cimetière des amours, moi j’ai planté ta croix

Pour recueillir un peu, oui les fleurs d’autrefois

Et s’il est un jardin qui soit fait de nos cendres

Comme ils sont des destins qui sont fait pour se pendre

Au cou d’une moitié au cou d’une colombe

De ses éternités qui dorment sous les tombes

Au cimetière des amours, j’y retourne parfois

Parfois pour y pleurer, pour pisser de joie

Pour arroser jardin, pour repenser à toi

Pour caresser ta main, pour pisser sur des croix

Prendre un bain de soleil et regarder le ciel

Puis voir les hirondelles rejoindre les tourterelles

Viennent quelques prénoms quelques bouts de mémoire

Comme un siècle en chemin vient vous conter l’histoire

Vient vous conter les cieux de ces cœurs amoureux

De ces cœurs qui se serrent pour mieux se dire adieu

Au cimetière des amours, oui je repense à toi

Puis j’entends les tambours qui font les guerres parfois

Qui font pleurer les fleurs des jardins de nos vies

Qui font pleurer mon cœur qui fait tomber la pluie

Qui fait que les cimetières un beau jour en jardin

Ressemblent à ces endroits où viennent jouer gamins

Où se disent amoureux les enfants sacrés

Oui que jusqu'à la tombe tu seras ma moitié

Au cimetière des amours, je suis perdu parfois

À jouer du tambour aux cœurs des filles de joie

Qui ont perdu leur chemin ou qui passent par là

Je chante Varsovie mais il n’y a que moi

Et les fleurs qui se meurent de te savoir partie

Et les fleurs qui se meurent et chantent Varsovie

Comme un jardin qui pleure à faire pleurer des croix

Comme un jardin se meure comme je me meurs de toi

Au cimetière des amours, on se retrouve un jour

On se retrouve un jour pour se parler d’amour

Pour voir passer les heures qui poussent sur les tombes

Pour regarder les fleurs dessous la pluie qui tombe

Au cimetière des amours sûr qu’un jour on sera

Un prénom sur la pierre de ce jardin de croix

Pour regarder les fleurs je crois bien vu d’en bas

Venir marier le ciel puis la terre tu vois

Que me jette la pierre celui qui n’a compris

Que les amours sous terre ont le cœur infini

Qui se bat sans un mot qui chuchote au printemps

Le ruissellement de l’eau quand s'écoule le temps

Sous la croix moi je crois, moi pourtant qui n’ai cru

Ici oui que l’amour serait toujours perdu

Sous la croix moi je crois, que se croise toujours

Ceux qui ont le cœur qui bat, qui bat comme un tambour

Aux amoureux perdus, aux amours à la rue

Aux cœurs qui savent battre, aux cœurs qui savent plus

Aux yeux dans la tempête, à ces marins perdus

À nos cœurs, à la fête, à quand on a trop bu

Aux sanglots déferlants sur mon cœur qui se noie

Au triste du pleurant, oui quand je pleure de toi

Aux armes de nos cœurs, aux larmes de nos combats

À l’ivresse, à la joie de pisser sur des croix

Au bar de la tristesse, à celle qui m’a pas vu

À ceux que la vie laisse, aux filles qu’on des vertus

À ces tristes destins, aux caresses d’un nu

À la force du poing, aux beautés dévêtues

À la force des proses, de mon génie de peine

Au siècle d’amoureux marchant les bords de Seine

Aux parfums de nos roses ou bien des chrysanthèmes

Dis-moi quoi de plus beau que se dire que l’on s’aime?

Au cimetière des amours, oui moi j’entends des voix

Et le ciel semble sourd à ceux qui vivent là

Les siècles de poèmes puis les siècles de tendres

Qui sous les chrysanthèmes n’ont plus cous à se pendre

Que le coût de la vie, c’est mourir et bien pire

C’est perdre son amour et garder son empire

Pour finir à genou, empereur de personne

Que de ce temps qui passe, puis qui vous abandonne

Empereur à genou, je suis là sur la terre

À nourrir de sanglots les fleurs de ce cimetière

À prier des bons dieux auxquels je ne crois pas

Oui puisqu’ici de dieu, moi je ne vois que moi

Dieu de ma solitude, de ma misère humaine

À ce cœur qui titube, puis qui chante la peine

Au cimetière des amours, moi je prie des poussières

De redonner la vie aux enfants de la terre

Alors, on est tous là au cimetière des amours

Toi c'était pour Olga, moi c'était pour toujours

Que je meure à genou devant ces bouts de bois

Que je meure à genou devant ces bouts de toi

Dont je me souviens pas, dont je me souviens plus

Mais dont je sais savoir oui qu’ils se sont perdus

Dans le fond des mémoires, dans le fond des cimetières

Dis-moi dessous la tombe qui a gagné la guerre?

Au cimetière des amours, je suis perdu parfois

À jouer du tambour aux cœurs des filles de joie

Qui ont perdu leur chemin ou qui passent par là

Je chante Varsovie mais il n’y a que moi

Et les fleurs qui se meurent de te savoir partie

Et les fleurs qui se meurent et chantent Varsovie

Comme un jardin de fleurs à faire pleurer des croix

Comme un jardin qui meure, comme je me meurs de toi

Au cimetière des amours, oui moi j’entends des voix

Mais le ciel semble sourd à ceux qui vivent là

Les siècles de poèmes puis les siècles de tendres

Qui sous les chrysanthèmes n’ont plus cous à se pendre

Que le coût de la vie, c’est mourir et bien pire

C’est perdre son amour mais garder son empire

Pour finir à genou, empereur de personne

Que de ce temps qui passe, puis qui vous abandonne

Au cimetière des amours, moi je repense à toi

Puis j’entends les tambours qui font les guerres parfois

Qui font pleurer les fleurs des jardins de nos vies

Qui font pleurer mon cœur, qui font tomber la pluie

Sur les ruisseaux de proses de mon génie de peine

Vont les siècles amoureux marchant les bords de Seine

Aux parfums de nos roses ou bien des chrysanthèmes

Dis-moi quoi de plus beau que se dire que l’on s’aime?

Перевод песни

In the cemetery of loves, I planted your cross

To collect a little, yes the flowers of yesteryear

And if there is a garden made of our ashes

Like they are fates that are made to hang

On the neck of a half on the neck of a dove

Of his eternities that sleep under the tombs

To the cemetery of loves, I go back sometimes

Sometimes to cry there, to piss for joy

To water the garden, to think of you again

To caress your hand, to piss on crosses

Sunbathe and watch the sky

Then see the swallows join the doves

Come some first names some bits of memory

As a century on the way comes to tell you the story

Come and tell you the skies of these loving hearts

Of these hearts that tighten to better say goodbye

At the cemetery of loves, yes I think of you

Then I hear the drums that make wars sometimes

That make the flowers in the gardens of our lives weep

That make my heart cry that makes the rain fall

Who makes the cemeteries a beautiful day in the garden

Look like those places where kids come to play

Where the sacred children call themselves lovers

Yes that until the grave you will be my half

At the graveyard of loves, I'm lost sometimes

Drumming the hearts of girls of joy

Who lost their way or who pass by

I sing Warsaw but it's only me

And the flowers that are dying to know you're gone

And the flowers that die and sing Warsaw

Like a garden that cries to make crosses cry

As a garden dies as I die of you

At the cemetery of loves, we meet again one day

We meet one day to talk about love

To see the hours pass that grow on the tombs

To watch the flowers beneath the falling rain

In the cemetery of loves sure that one day we will be

A name on the stone of this garden of crosses

To look at the flowers I believe well seen from below

Come marry the sky then the earth you see

Throw the stone at me who does not understand

That the loves underground have an infinite heart

Who fights without a word that whispers in the spring

The flow of water as time passes

Under the cross I believe, yet I who did not believe

Here yes that love would always be lost

Under the cross I believe, that always crosses

Those with a beating heart, beating like a drum

To lost lovers, to street loves

To hearts that know how to beat, to hearts that know more

To the eyes in the storm, to those lost sailors

To our hearts, to the party, to when we've had too much to drink

To the sobs breaking on my drowning heart

To the sad of the crying, yes when I cry for you

To the arms of our hearts, to the tears of our battles

To drunkenness, to the joy of pissing on crosses

To the bar of sadness, to the one who hasn't seen me

To those whom life leaves, to girls who have virtues

To these sad destinies, to the caresses of a nude

To the strength of the fist, to the undressed beauties

By force of prose, of my genius of pain

In the century of lovers walking the banks of the Seine

With the scents of our roses or chrysanthemums

Tell me what could be more beautiful than to say that we love each other?

In the cemetery of loves, yes I hear voices

And the sky seems deaf to those who live there

The centuries of poems then the centuries of tenderness

Who under the chrysanthemums have no more necks to hang

That the cost of living is dying and much worse

It's losing your love and keeping your empire

To end up on my knees, nobody's emperor

Than this time that passes, then abandons you

Emperor on my knees, I'm here on earth

To feed the flowers of this cemetery with sobs

Praying to good gods I don't believe in

Yes since here of God, I only see me

God of my loneliness, of my human misery

To this heart that staggers, then sings of pain

In the cemetery of loves, I pray dust

To restore life to the children of the earth

So we're all here at the cemetery of loves

You were for Olga, I was forever

That I die on my knees before these pieces of wood

That I die on my knees before these bits of you

What I don't remember, what I don't remember anymore

But of which I know to know yes that they got lost

In the depths of memories, in the depths of cemeteries

Tell me below the grave who won the war?

At the graveyard of loves, I'm lost sometimes

Drumming the hearts of girls of joy

Who lost their way or who pass by

I sing Warsaw but it's only me

And the flowers that are dying to know you're gone

And the flowers that die and sing Warsaw

Like a flower garden to make crosses cry

Like a dying garden, like I'm dying of you

In the cemetery of loves, yes I hear voices

But the sky seems deaf to those who live there

The centuries of poems then the centuries of tenderness

Who under the chrysanthemums have no more necks to hang

That the cost of living is dying and much worse

It's losing your love but keeping your empire

To end up on my knees, nobody's emperor

Than this time that passes, then abandons you

In the cemetery of loves, I think of you

Then I hear the drums that make wars sometimes

That make the flowers in the gardens of our lives weep

That make my heart cry, that make it rain

On the prose streams of my toiling genius

Go the centuries of love walking the banks of the Seine

With the scents of our roses or chrysanthemums

Tell me what could be more beautiful than to say that we love each other?

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