Below is the lyrics of the song Aéroport/évolution , artist - Ô Paon with translation
Original text with translation
Ô Paon
Ton père t’a tiré comme uni flèche à son arc
Pointent vers l’avant sans détour, sans retour, sans répit
Espérant atteindre un sommet plus céleste et glorieux, du vent…
Des passante, des proches transpercés les uns apres les autres
Une pomme agrafes à un tronc sans personne pour se mettre en dessoue
Ton corps déraciné parmis d’autres qui s’entassent dans les queues de l’aéroport
Des gens qui se dépêchent et qui poussent pour attendre le ciel…
Des doutes qui planent, et qui même dans une foule ne sont pas effacés ne sont
pas effacés
Du vent, du vent, du vent…
Trop entêtè, trop pressè, trop demandant, tu t’es enfermè dans un squelette en
scier
Ton corps parfumè, tes enfants javellisés, tu es devenu ton propre pire ennemi
Tu traines un poids doué à tes épaules, tu te fais un métier de détails sans
importance
Á chaque épreuve je revisite avec toi tes mauvaises habitudes, ton train-train
qui ne va nulle part
Allergique a l'écorce, allergique au pollen, l’autoroute est ta seule promenade
Tu confonds les sapins, les épinettes
Tu n’as vu les forêts de ton pays que par avion
C’est une drôle d’idée d’aller pourrir dans un cube, une drôle d’idée de courir
sur le pavé
Ça laisse un effet de ne plus voir le soleil, de partir tôt en noirceur,
rentrer en obscurité
C’est une course de chevaux qui fait demi-tour, un retour á l'Âge de pierre,
un homme qui marche le dos courbé
Your father shot you like an arrow to his bow
Point forward without detour, without return, without respite
Hoping to reach a more celestial and glorious summit, from the wind...
Passers-by, loved ones pierced one after the other
An apple staples to a trunk with no one to get under it
Your uprooted body among others that pile up in the queues at the airport
People rushing and pushing to wait for the sky...
Doubts that hover, and which even in a crowd are not erased are not
not erased
Wind, wind, wind...
Too stubborn, too rushed, too demanding, you locked yourself in a skeleton in
to saw
Your scented body, your bleached children, you've become your own worst enemy
You drag a gifted weight on your shoulders, you make a trade of details without
importance
At each test I revisit with you your bad habits, your routine
who goes nowhere
Allergic to bark, allergic to pollen, the freeway is your only drive
You confuse the firs, the spruces
You've only seen your country's forests from the air
It's a funny idea to rot in a cube, a funny idea to run
on the pavement
It leaves an effect of no longer seeing the sun, leaving early in the dark,
return to darkness
It's a horse race that turns around, a throwback to the Stone Age,
a man who walks with his back bent
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